La philosophie Beta-Oblique

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Déclaration du droit de l’homme : chacun a droit aux moyens de l’apaisement des échanges pour faire son intelligence. Dans cette optique, Beta-Oblique présente une réflexion sur le livre.

Cette affiche résume l’affaire :

B

Certes, nos éditions sont durables : n’ayant pas de caractère mercantile, elles peuvent durer pour servir les auteurs qui ne peuvent publier pour des raisons de rentabilité (essentiellement).

Certes, elles sont aussi sociales : ne répondant pas aux schémas classiques des éditeurs, le réseau de distribution veut s’appuyer sur les personnes considérées elles aussi non rentables (les retraités par exemple sans lesquels on perd beaucoup).

Certes, Beta-Oblique incarne l’aventure : l’être d’expérience a toujours à dire et c’est à lui que nous demandons de parler des livres sans en parler, mais en illustration de ses propos (sous la forme de l’homélie en quelque sorte).

Oui : cette vision est globale, révolutionnaire, visant à infléchir la désaffection qui frappe la lecture en instituant un rituel familial où le parent montre l’exemple de l’intérêt qu’il porte aux livres de qualité.


« Ne pas tomber dans l’abrutissisme des sous-hommes oxidentaux enspectaculés à outrance. Nous devons donc (oserai-je mon faible avis sur la question ?) renforcer la lecture dans l’Empire. N’accorder désormais le droit de vote, et quelques autres droits, qu’à ceux qui sauront lire, qui auront lu, qui connaîtront des rudiments, et pourquoi pas des rudiments à définir et statutiser de culture grecque et romaine ? voire intégrer une certaine pratique de nos langues originelles ? Désormais nous devons forcer les foules à respecter le devoir de culture véritable, basé sur l’Antiquité et les précurseurs… » (Albert-Weil, Siberia)
 
Si cette uchronie peut effrayer certains de la voir se réaliser, Beta-Oblique offre un ré-aiguillage à la douceur de première classe…